Lors de la préparation d’une chirurgie esthétique plusieurs aspects doivent être pris en considération.
En effet, tout patient doit réaliser plusieurs examens cliniques afin de s’assurer qu’il est apte physiologiquement à subir l’opération.
D’autre part, il faut aussi s'assurer de la stabilité psychologique de la personne désirant recourir à la chirurgie esthétique.
Intérêt de l’examen psychologique
Les instances de santé qui régularisent le domaine de la chirurgie esthétique exigent que les chirurgiens évaluent psychologiquement leurs patients indépendamment de leur âge et de la nature de l’intervention demandée.
Cet examen a plusieurs motivations :
Dans un premier temps, il permet d’identifier la raison pour laquelle le patient a décidé de réaliser l’opération.
En effet, la chirurgie esthétique doit être une demande qui émane du patient lui-même et pour satisfaire son propre besoin.
Plusieurs personnes sont influencées par les images qu’ils voient dans les magazines et les films que ce soit des stars ou des tops model, et veut avoir les même fesses, seins ou nez qu’elles, alors qu’ils n’en ont pas vraiment besoin.
Dans certains cas, ce genre de modification peut être toléré mais si ça se transforme en une obsession telle que les personnes voulant à tout prix ressembler à Barbie ou à Ken il est préférable que le chirurgien esthétique les orienter vers un spécialiste en psychologie.
D’autre part, il faut que le chirurgien s’assure de la stabilité psychologique du patient et qu’il est apte à bien gérer les répercussions psychologiques des modifications esthétiques.
En effet, plusieurs interventions tels que la liposuccion complète de la silhouette, la rhinoplastie ou le lifting du visage n’ont pas seulement un impact esthétique, mais, elles peuvent aussi changer la perception qu’on a de soi-même ainsi que la perception de l’entourage, il en suit une perte des repère nécessitant une adaptation psychologique rapide.
L’examen psychologique permet aussi de quantifier les bienfaits psychologiques éventuels d’une chirurgie esthétique.
En effet, certaines personnes qui présentent une disgrâce très voyante peuvent être orienté par leur psychiatre vers la chirurgie esthétique surtout si cette disgrâce est à l’origine de moquerie et de raillerie de la part de l’entourage ce qui entraine différents troubles psychologiques.
Inversement, certains patients pensent avoir un problème esthétique et optent pour la chirurgie esthétique pour le traiter alors qu’après examen psychologique ils découvrent que leur problème esthétique est en fait une projection d’un profond malaise psychologique.
Ainsi l’examen psychologique préopératoire est une étape cruciale dans la préparation d’une chirurgie esthétique aussi bien pour le patient que pour le chirurgien.
En effet, tout patient doit réaliser plusieurs examens cliniques afin de s’assurer qu’il est apte physiologiquement à subir l’opération.
D’autre part, il faut aussi s'assurer de la stabilité psychologique de la personne désirant recourir à la chirurgie esthétique.
Intérêt de l’examen psychologique
Les instances de santé qui régularisent le domaine de la chirurgie esthétique exigent que les chirurgiens évaluent psychologiquement leurs patients indépendamment de leur âge et de la nature de l’intervention demandée.
Cet examen a plusieurs motivations :
Dans un premier temps, il permet d’identifier la raison pour laquelle le patient a décidé de réaliser l’opération.
En effet, la chirurgie esthétique doit être une demande qui émane du patient lui-même et pour satisfaire son propre besoin.
Plusieurs personnes sont influencées par les images qu’ils voient dans les magazines et les films que ce soit des stars ou des tops model, et veut avoir les même fesses, seins ou nez qu’elles, alors qu’ils n’en ont pas vraiment besoin.
Dans certains cas, ce genre de modification peut être toléré mais si ça se transforme en une obsession telle que les personnes voulant à tout prix ressembler à Barbie ou à Ken il est préférable que le chirurgien esthétique les orienter vers un spécialiste en psychologie.
D’autre part, il faut que le chirurgien s’assure de la stabilité psychologique du patient et qu’il est apte à bien gérer les répercussions psychologiques des modifications esthétiques.
En effet, plusieurs interventions tels que la liposuccion complète de la silhouette, la rhinoplastie ou le lifting du visage n’ont pas seulement un impact esthétique, mais, elles peuvent aussi changer la perception qu’on a de soi-même ainsi que la perception de l’entourage, il en suit une perte des repère nécessitant une adaptation psychologique rapide.
L’examen psychologique permet aussi de quantifier les bienfaits psychologiques éventuels d’une chirurgie esthétique.
En effet, certaines personnes qui présentent une disgrâce très voyante peuvent être orienté par leur psychiatre vers la chirurgie esthétique surtout si cette disgrâce est à l’origine de moquerie et de raillerie de la part de l’entourage ce qui entraine différents troubles psychologiques.
Inversement, certains patients pensent avoir un problème esthétique et optent pour la chirurgie esthétique pour le traiter alors qu’après examen psychologique ils découvrent que leur problème esthétique est en fait une projection d’un profond malaise psychologique.
Ainsi l’examen psychologique préopératoire est une étape cruciale dans la préparation d’une chirurgie esthétique aussi bien pour le patient que pour le chirurgien.